Le souffle aristocratique de la place Saint Sulpice. Le charme germanopratin de petites rues à la décontraction stylée, la douceur romantique du jardin du Luxembourg, la grandeur classique du Théâtre de l’Odéon, un poétique banc aux livres juste devant l'Hôtel Récamier… et tout l’art de vivre très casual- cultivé de la Rive Gauche : de terrasse de cafés et brasserie de légende en adresses et petites cours plus secrètes, de shopping pointu en librairies et galeries expertes, l’expérience parisienne est ici à portée de contemplation, de flânerie, de promenade et de bien-vivre. Il suffit de demander. Nous saurons assurément vous surprendre et vous guider.
L'expérience parisienne est ici à portée de contemplation
Découvrez Paris depuis la Seine grâce aux promenades en Bateaux Mouches.
Choisissez votre option et profitez.
Découvrez les expériences que Paris a à offrir et réservez les directement.
Vous trouverez une multitude d'offres mises à votre disposition.
Découvrir Paris en toute liberté en réservant votre vélo.
Des adresses qui nous plaisent et qui vous plairont, à proximité de l'hôtel, pour vous faire découvrir le Paris des quartiers
Retrouvez ici les actualités de l’hotel et de son quartier : nos offres du moment pour profiter de votre séjour au meilleur prix, mais aussi nos adresses partenaires et actualités parisiennes.
Le musée met à l’honneur une pièce méconnue de ses collections, l’Étude de robe de chambre pour Balzac d’Auguste Rodin. Conçue à partir d’une sélection de sculptures issues des collections du musée, de pièces de mode du XIXe siècle du Palais Galliera et d’archives inédites de la bibliothèque de l’Institut de France, l’exposition révèle une enquête sur la recherche d’un corps de Balzac par Rodin. En prenant comme point de départ le processus de création du Monument à Balzac, l’exposition invite plus largement à une réflexion sur l’évolution des représentations du corps dans l’espace public.
Choisi par la Société des Gens de Lettres en 1891 pour sculpter un monument à Balzac, Auguste Rodin se lance dans la quête du romancier disparu depuis près d’un demi-siècle : les étapes de cette enquête seront restituées au fil de l’exposition. Rodin s’attèle ensuite au défi d’incarner Balzac dans la terre et le plâtre quatre années durant. L'exposition rend compte du cheminement du sculpteur vers une idéalisation du corps et se finit sur la confrontation de la statue de Balzac, à une œuvre du sculpteur contemporain Thomas J. Price représentant une femme noire anonyme, en jogging, symbole d’une nouvelle diversité dans la statuaire publique du XXIe siècle.
Réunissant pour la première fois plus de 200 des créations de la maison de mode italienne, l'exposition retrace l’itinéraire esthétique des créations de Domenico Dolce et Stefano Gabbana. Cette édition parisienne fait suite à celle réalisée au Palazzo Reale de Milan.
À travers dix salles immersives couvrant 1 200 m2, le parcours met en évidence les différents éléments de la culture italienne qui nourrissent les créations des deux couturiers : l’histoire de l’art italien, l’architecture, l’artisanat, les cultures régionales, la musique, l’opéra, le ballet, le cinéma, les traditions folkloriques, le théâtre et bien sûr – « la dolce vita ». L’exposition présentera également les travaux inédits d’artistes contemporains qui dialoguent avec l’univers de la maison de couture.
L'exposition revient sur l'influence entre le monde de l'art et la création contemporaine dans l'univers de la mode, à l'aune de l'histoire des styles décoratifs, des métiers d'art et de l'ornement. Au fil des galeries et des salles du département des Objets d'art, 65 silhouettes contemporaines, accompagnées d'une trentaine d'accessoires, seront déployées en un dialogue historique et poétique avec les chefs-d'oeuvre du département, de Byzance au Second Empire.
Le parcours propose une autre manière de regarder les objets d'art au prisme du regard des créateurs contemporains. Il souligne des rapprochements avérés entre ses collections du département des Objets d'artet des pièces de mode. Au regard de l'histoire de l'art et de la mode, les complicités épousent souvent des méthodes communes, une connaissance des techniques les plus anciennes, une culture visuelle et un jeu références.
Ce printemps, la Galerie MR8, située dans le Marais à Paris, consacre une exposition de photos à l'icône David Bowie. Décédé le 10 janvier 2016, l’artiste britannique continue encore aujourd’hui de nous hanter, de nous fasciner et d’influencer la pop culture.
À Londres, de l’autre côté de La Manche, un centre dédié au chanteur doit ouvrir ses portes au mois de septembre 2025. Les visiteurs pourront notamment y découvrir, de façon permanente, plus de 90 000 objets liés à David Bowie. À Paris, les fans de l’artiste britannique ne sont pas en reste. Car une exposition dédiée au caméléon va s’installer dans une galerie parisienne, nichée dans le Marais, du samedi 22 mars au dimanche 22 juin 2025.
Intitulée « David Bowie, Mr Jones’ Long Hair », et présentée en avant-première à Paris, cette exposition rassemblera une centaine de photographies (jamais vues pour certaines d'entre elles), autour de la mode, du cinéma, de la littérature, de la musique, du théâtre et de la peinture.
Disney100 : L’Exposition est une invitation à explorer un siècle d’histoires et de création. Avec ses neuf galeries immersives, cette expérience unique lève le voile sur certaines des histoires les plus appréciées de Disney – des classiques tels que Blanche-Neige et les Sept Nains (1937) et Peter Pan (1953) aux titres plus récents comme Ratatouille (2007) et Encanto, La Fantastique Famille Madrigal (2021). Les fans pourront également célébrer leurs récits préférés issus des univers Pixar, Star Wars et Marvel.
Depuis près de 55 ans, Walt Disney Archives préserve avec soin certains des objets les plus précieux de The Walt Disney Company. À Paris, plus de 250 pièces seront exposées, dont des œuvres d’art, des sculptures utilisées pour l’animation, ainsi que des costumes et des accessoires. Cela inclut le Cheval du Carrousel de Mary Poppins (1964), utilisé par la Disney Legend Julie Andrews, ainsi que la robe rouge de Cruella (2021), portée par Emma Stone.
À travers l'étude de l'exposition de propagande « Entartete Kunst », organisée en 1937 à Munich et destinée à provoquer le dégoût du visiteur, le parcours explore et met en perspective l’attaque méthodique du régime nazi contre l’art moderne et la place qu’occupa Pablo Picasso, archétype de l’artiste « dégénéré », dans cette histoire.
Pour dénoncer les avant-gardes artistiques, le régime nazi organise une propagande dans le contexte d’une « purge » méthodique des collections allemandes. Plus de 20 000 œuvres, parmi lesquelles celles de Vincent Van Gogh, Marc Chagall ou de Pablo Picasso, désigné comme artiste « dégénéré » dès les années 1920 sont ainsi retirées, vendues ou détruites.
S’appuyant sur les recherches historiques récentes, confrontant œuvres et documents, le parcours reconstitue l’histoire de ces œuvres, le contexte idéologique, les logiques commerciales et les mécaniques administratives de la campagne contre « l’art dégénéré ».
La Fondation Louis Vuitton invite David Hockney, l’un des artistes les plus influents des XXᵉ et XXIᵉ siècles, à investir l’ensemble de ses espaces d’exposition. Cette présentation de plus de 400 œuvres de 1955 à 2025 rassemble, outre un fonds majeur provenant de l’atelier de l’artiste et de sa fondation, des prêts de collections internationales, institutionnelles ou privées. L'artiste a voulu suivre personnellement la conception de chaque séquence et de chaque salle, dans un dialogue continu avec son assistant Jonathan Wilkinson.
L’exposition réunit des créations réalisées avec les techniques les plus variées – des peintures à l’huile ou à l’acrylique, des dessins à l’encre, au crayon et au fusain, mais aussi des œuvres numériques et des installations vidéo. David Hockney s’est totalement impliqué dans la réalisation de cette exposition. Il a lui-même choisi, en collaboration avec son compagnon et studio manager, Jean-Pierre Gonçalves de Lima, de centrer l’exposition sur les 25 dernières années de son œuvre sans omettre les œuvres « mythiques » de ses débuts, proposant ainsi une immersion dans son univers, couvrant sept décennies de création.
Cette exposition rend hommage à l’artiste romaine Artemisia Gentileschi (1593 - vers 1656). Personnalité au destin hors norme, cette protagoniste de la peinture caravagesque est l’une des rares artistes femmes de l’époque moderne ayant connu de son vivant une gloire internationale et qui put vivre de sa peinture. À travers une quarantaine de tableaux, cette exposition met en valeur le rôle de la peintre dans l’histoire de l’art du XVIIe siècle.
Sa formation initiale avec son père artiste Orazio, ainsi que l’impact fort de Caravage, seront mis en exergue dans l’exposition. Si son travail est difficilemment séparable de celle de son destin ( elle sera victime dans sa jeunesse fut d'un viol et subira la violence mysogine du procès qui en découlera), son œuvre - reflet de son vécu et sa résilience - en demeure pour autant universelle. La peintre puisera son inspiration dans les thèmes bibliques et littéraires pour mettre en avant l’héroïsme au féminin, qu’elle représente avec une rare empathie. Une partie importante de l’exposition sera ainsi consacrée au duel symbolique d’Eros et Thanatos, crucial dans l’art et la culture du baroque.
Co-fondateur du cubisme, et considéré comme le père de l’art moderne, Pablo Picasso dédia son travail à interroger la perception de la réalité, remettant en question tous les canons artistiques de son époque et bousculant les codes académiques qu’il maîtrisait à la perfection. Cette rétrospective projetée sur les murs de l’Atelier des Lumières, invite à observer les diverses techniques que l’artiste s’est amusé à explorer : la gravure, la sculpture, les papiers-collés, les assemblages, les pliages ou la céramique.
Du Maghreb au Japon, en passant par les pays du Moyen-Orient, l’Inde et la Chine, l’exposition retrace l’histoire millénaire de l’or dans les arts textiles. Dès le cinquième millénaire avant notre ère, l’or agrémente les premières étoffes de luxe. Au cours des siècles suivants, des tisserands et artisans chevronnés déploient des techniques ingénieuses pour réaliser de véritables tissus d’art où les fibres de soie ou de lin s’entrelacent aux lames et filés d'or, mêlant création artistique, savoir-faire traditionnels et inventions techniques.
Des premiers ornements cousus sur les vêtements des défunts aux robes flamboyantes de la créatrice de mode chinoise Guo Pei, des caftans brochés d’or du Maghreb et d’Orient et des soieries des mondes indien et indonésien aux kimonos scintillants de l’ère Edo, l’exposition propose une traversée au fil de l’or en deux sections historiques et techniques et cinq sections correspondant à cinq grandes aires géographiques et culturelles.
Cette exposition est la première à s’intéresser à l'amitié artistique qui unit le sculpteur Ossip Zadkine au peintre Amedeo Modigliani. À travers près de 90 œuvres, peintures, dessins, sculptures mais également documents et photographies d’époque, elle propose de suivre les parcours croisés des deux artistes, dans le contexte mouvementé et fécond du Montparnasse des années 1910 à 1920. Le parcours fait se confronter, comme au temps de leurs débuts artistiques, deux artistes majeurs des avant-gardes, et permet de renouer les fils d’une amitié interrompue.
L'exposition présente les débuts des deux artistes à Paris ainsi que les affinités liées avec les « Montparnos » tels Max Jacob, Chana Orloff ou André Salmon. Le parcours témoigne également de l’ampleur du « mythe Modigliani » et la part active prise par Zadkine dans l’édification de la légende du peintre après sa mort.
L'exposition présente une sélection d’environ 70 bijoux portés sur scène de la deuxième moitié du XIXe siècle jusqu’à nos jours, dont une grande partie est conservée dans les collections de la BnF. Enrichie de maquettes de costumes et de décors, de photographies, de peintures, ou encore d’affiches, l’exposition explore d’abord leur rôle dramaturgique, qui les rend essentiels pour comprendre l’intrigue en insistant sur les enjeux de pouvoir ou de séduction. Elle s’attache ensuite à montrer comment l’évolution des usages, des techniques, des modes, des esthétiques et de la mise en scène ont eu des répercussions sur leur capacité à représenter l’illusion théâtrale.
Conçus pour être portés par les artistes lors des représentations d’opéras ou de ballets, les bijoux sont imaginés par des costumiers et exécutés par des artisans, intégrés depuis 1972 dans les ateliers de l’Opéra de Paris. Travaillés dans des matières non précieuses comme le laiton, le verre ou le strass pour imiter l’or, les pierres précieuses ou les diamants, ils sont pourtant réalisés avec un savoir-faire et un soin dignes de la haute joaillerie. C’est l’une des raisons pour lesquelles ces bijoux de scène, dont certains ont été portés par les plus grands noms de l’art lyrique ou chorégraphique comme Célestine Galli-Marié, la créatrice de Carmen, ou Maria Taglioni, l'une des premières danseuses à porter des pointes, ou encore Ida Rubinstein, sont désormais conservés à la Bibliothèque-musée de l’Opéra de Paris.
Situé entre Bastille et Nation, dans une ancienne fonderie du XIe arrondissement parisien, l’Atelier des Lumières propose des expositions numériques immersives monumentales diffusées en continu. Avec 140 vidéoprojecteurs et une sonorisation spatialisée, cet équipement multimédia unique en son genre épouse 3 300 m² de surfaces, du sol au plafond, avec des murs s’élevant jusqu’à 10 mètres.
La Galerie Dior, qui témoigne de l’audace visionnaire de Christian Dior et de ses six successeurs : Yves Saint Laurent, Marc Bohan, Gianfranco Ferré, John Galliano, Raf Simons et Maria Grazia Chiuri.
En fonction des saisons et des événements, des tarifs promotionnels vous sont proposés. Vous pourrez également sélectionner des offres gourmandes, romantiques, familiales, festives, des offres longs séjours..
Nos bonnes adresses
27 Rue de Vaugirard, 75006 Paris
54 Rue de Seine, 75006 Paris
54 Rue de Seine, 75006 Paris
69 Rue de Seine, 75006 Paris
36 Rue de Grenelle, 75007 Paris
Bourse de Commerce – 3e étage 2 rue de Viarmes – 75001 Paris
79, rue de Seine, 75006 Paris
5, rue Paul Louis COURRIER
4, place Saint-Germain des Prés, 75006 Paris
54, rue de Seine
10, bis rue Servandoni, 75006 Paris
10, rue Saint simon, 75007 Paris
24, rue des Cannettes 75006 PARIS
Besoin d’aide pour réserver ? Contactez-nous au +33 1 43 26 04 89ou demandez à être rappelé :
Recevez les offres de l'hôtel et des promotions directement par email ! Votre adresse email reste entièrement confidentielle et ne sera jamais partagée ou revendue.
Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit.
• Aliquam erat volutpat
• Vestibulum vitae accumsan velit
• Donec mattis cursus tempus